le collectif Reinfosanté a compilé les données (confuses) officielles, afin d’en sortir les données de manière compréhensible,ce qu’il en ressort est absolument hallucinant !
ci dessous un extrait qui se concentre sur les données ressorties de l’agence européenne (considérons aussi que le report offciel est de l’ordre de seulement 1/10 env des données réelles car seul un faible pourcentage est effectivement reporté)
l’article complet ici
L’ « outcome fatal » permet-il d’accéder au nombre de morts liés aux vaccins contre le covid-19 ? Ces données n’ont jamais été compilées officiellement et présentées au niveau européen par les autorités ou les médias grand public alors que leur importance en termes d’évaluation du risque est considérable. Les médias grand public préfèrent semble-t-il passer ce temps à fact checker le moindre internaute présentant des données ou relayant une information sur le net en déclassant automatiquement tout critique par des arguments d’autorité que d’aller mettre son nez dans cette base de données. La question que toute personne un peu critique devrait se poser est : pourquoi les fact checker du Monde, de Libération, du Temps et tout autre journaliste n’ont jamais publié d’articles sur ces données qui sont pourtant si riches. Si des citoyens, pas forcément tous professionnels de santé, l’ont fait sur leur temps libre, c’est à la portée de n’importe quel journaliste. L’écueil de ces données est le temps de collecte long puisqu’il faut afficher et collecter les outcomes pour les 27 catégories et répéter l’opération pour les 4 vaccins. Si le temps moyen d’affichage et de collecte est de 10 secondes pour le vaccin contre le covid-19 Pfizer, l’affichage prend en moyenne 18 minutes (27 X 4 X 10 secondes). Par contre, si le temps moyen d’affichage et de collecte passe à 30 secondes au moins, comme c’est le cas avec les vaccins contre le covid-19 de Moderna et d’Astra Zeneca, cela prendra une heure minimum en croisant les doigts que la base ne crash pas entre temps. Cette présentation ne concerne que le temps de recueil car il faut ensuite synthétiser les données dans Excel. Le problème de ces données, c’est qu’elles ne représentent pas les déclarations donc les individus, mais les effets pris séparément avec leur issue pour le patient. Or, une déclaration peut comprendre plusieurs effets déclarés mortels et ainsi compter les morts plusieurs fois. Cette erreur d’appréciation n’est pas de la seule responsabilité des personnes qui ont fait le travail mais essentiellement du site lui-même qui présente les choses fallacieusement puisque l’intitulé même de l’onglet et le titre des tableaux n’est pas clair. Il y a certes un message d’avertissement (disclaimer) dans les pages annexes de l’accueil mais nous pouvons dire que ceci reste très ambigu, même pour des professionnels et que ce n’est pas le choix fait au niveau VAERS.
De plus, on peut se demander pourquoi les choses sont présentées ainsi sachant par exemple que certains pays exploitent ces données dans un sens logique (il n’y a en effet aucune logique à compter plusieurs fois une mort, sous prétexte que l’on compte individuellement les conséquences de chaque effet). Par exemple, pour la France, l’enquête Pfizer du 28.05.2021 au 01.07.2021 présente le nombre de personnes décédées (cf ci-dessous) et non les effets indésirables ayant conduit à un décès. Cette notion n’est cependant jamais bien claire sur les sites des différentes agences du médicament. Si « l’outcome fatal » ne représente pas exactement le nombre de décès mais, le nombre d’effets indésirables ayant abouti à un décès ou des séquelles, il permet de se donner une idée de la situation et de se rendre compte de son anormalité, surtout pour des experts de pharmacovigilance possédant une expérience sur le sujet dans le cadre d’une pathologie touchant les plus âgés et les plus fragiles, dont la létalité est plus proche de celle de la grippe que de Ebola.
Comment dans ce cadre, peut-on parler encore de balance bénéfice risque favorable chez des adultes de moins de 50 ans en bonne santé ? Etant donné, l’intérêt de ces données, nous les avons exploités en date du 10 juillet 2021 (date de libération indiquée sur le site). Les résultats globaux suivants ont été comparés aux données du 5 juin 2021. Les résultats sont les suivants : 18115 effets indésirables ont abouti à un décès avec une augmentation sur 40 jours de 31%. Ce chiffre est considérable si on le met en perspective avec le fait que les personnes vaccinées sur la période (mois de juin) sont à priori des adultes jeunes. En effet, la vaccination des plus fragiles et des plus anciens a été très largement finalisée (+ de 80% selon les chiffres officiels) et celle des adultes jeunes a commencé dans tous les pays européens à partir de mai 2021. Nous remarquons que les chiffres de décès par âge ne sont jamais présentés nationalement. Au mieux, les autorités présentent une moyenne, ce qui ne permet pas réellement de voir les classes d’âge qui sont touchées par tranche de 10 ans. Dans Eudravigilance, ces données ne sont pas disponibles car tous les adultes jeunes et âgés ont été rassemblés dans une même classe (18-64 ans).
320 478 personnes ont subi un effet indésirable grave Ces chiffres sont sans précédent dans l’histoire de l’industrie pharmaceutique et pour remettre en perspective ce décompte avec les autres médicaments, nous avons conduit une analyse dans la base de données de pharmacovigilance anglaise qui permet un accès détaillé aux données (Yellowcard scheme) Au 30.06.2021, 1440 décès avaient été reportés pour 3 vaccins contre la covid-19 (AstraZeneca, Pfizer, Moderna) en 7 mois. Pour mettre en perspective ces chiffres, nous avons collecté les données de 70 DCI toute forme pharmaceutique confondue (Dénomination Commune Internationale ou nom chimique de médicaments) représentant 20% des médicaments les plus utilisés et les plus à risques. Ces données ont donc été analysées en parallèle sur les mêmes critères. Cela inclut les médicaments dits « High Alert Medication » de l’ISMP ou Médicament à Risque selon l’ANSM. Ces médicaments dangereux occasionnent le plus grand nombre d’accidents mortels iatrogènes et nécessitent des mesures spécifiques de prévention de la part des professionnels de santé (ex : anticoagulants, héparines, anticancéreux, insulines, opioïdes, électrolytes, anesthésiants). En France, ils font même l’objet de mesures très lourdes dans le guide HAS de sécurisation et d’autoévaluation de l’administration des médicaments.
En 7 mois, les vaccins ont causé 3,4 x plus d’effets indésirables mortels (1440) que la totalité des 70 substances représentant 20% des médicaments utilisés sur 1 an (en 2019 : 428 effets indésirables fatals). En 7 mois, les décès liés aux vaccins ont représenté 24 % (5987) du total des décès occasionnés par les 70 substances sur 50 ans de recueil ! En comparaison :
• Depuis 1964, 861 morts sont liés à tous les opioïdes et 17 morts liés à l’hydroxychloroquine.
• Depuis 2003, 5 morts liés à l’Ivermectine.
• Le Vioxx a concerné 114 décès depuis 1999 et la pilule Yasmine : 6 décès.
Au-delà des données d’effets indésirables ayant entrainé la mort de la personne, des questions légitimes concernant cet onglet se pose en analysant plus attentivement ce tableau.
• Pourquoi a-t-on autant d’effets indésirables déclarés avec “évolution inconnue” (15%), chiffre en constante augmentation depuis le début. N’y a t-il aucun suivi des patients touchés par ces effets? Pour la France, l’ANSM annonce un chiffre moyen d’effet avec évolution inconnue autour de 2.5% (2.9% pour le vaccin Pfizer pour les cas non graves et 0 pour les cas graves).
• Pourquoi a t-on autant de cas non résolus et en cours de resolution (44% des cas d’effets recensés). En outre, ces effets ne cessent d’augmenter dans le temps, comme si ces cas n’avaient jamais de resolution. Si on observe ces chiffres, on s’aperçoit également que le nombre de cas d’effets indésirables pour lequel le patient a pu guérir n’est que de 39% ! Non seulement, il y a un nombre inédit d’effets indésirables mortels, mais pour ceux qui ne le sont pas, il n’y a majoritairement pas d’issue alors que le recueil a commencé il y a plus de 6 mois.
A cela, il faut noter que contrairement aux autres médicaments auxquels le Yellow card scheme permet un large accès aux données, les données sur les vaccins contre le covid-19 sont très limitées (pas d’accès à la répartition par âge, par gravité et par sexe). Par exemple ci-dessous, la présentation du paracétamol(https://info.mhra.gov.uk/drug-analysisprofiles/dap.html?drug=./UK_EXTERNAL/NONCOMBINED/UK_NON_000544442035.zip&agency=MH RA ),
… l’article continue
https://www.reinfosante.ch/wp-content/uploads/2021/08/Donnees-de-securite-de-la-phase-IV-RSSI.pdf
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